Des origines à aujourd’hui.
Dans les années 80, la méthode de sélection des entreprises, destinée à définir un périmètre de valeurs investissables pour le premier fonds éthique, était principalement basée sur la capacité des groupes à établir des relations constructives avec l’ensemble de leurs parties-prenantes (salariés, fournisseurs, communautés locales, clients, société civile…).
Par la suite, nos analyses se sont progressivement enrichies de nouveaux critères tels que la gestion des impacts environnementaux et la mise en place d’une bonne gouvernance au sein de l’entreprise. Aujourd’hui encore, de nouveaux sujets d’exigence apparaissent et commencent à être intégrés à la grille d’évaluation : lutte contre la corruption et transparence fiscale, promotion de la diversité culturelle…
Au début des années 2000, Meeschaert AM s’est posée la question de mettre en place une méthode de sélection des Etats. Il s’agissait alors de décliner les critères d’analyse applicables à des entreprises en des indicateurs pertinents pour l’évaluation des émetteurs publics, les Etats. L’approche adoptée utilise trois grands indicateurs, reflétant les trois principaux piliers étudiés dans l’investissement socialement responsable (ISR) : environnement, social et gouvernance.
En 2010, la méthode de sélection extra-financière des Etats, utilisée pour la gestion obligataire ISR, a été révisée.
Meeschaert AM a élaboré une méthode hybride de sélection des entreprises, reposant sur quatre grands piliers.